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10 des pires mères du cinéma d’horreur!

À l’occasion du weekend de la fête des Mères, nous vous proposons ici quelques visages des pires mères du cinéma d’horreur. Certaines très connues, d’autres moins, on se rend vite compte que l’image et la réputation de la figure maternelle n’ont pas toujours été des plus flatteuses. Évidemment, il en existe beaucoup plus, mais nous nous sommes limités à dix.

Attention: ce billet contient plusieurs divulgâcheurs!

Mary Brady (Sleepwalkers, 1992)

Dans cette histoire singulière signée Stephen King, Mary fait équipe avec son fils Charles (Brian Krause) pour se nourrir de jeunes vierges. Cette relation amoureuse mère-fils des plus tordues est à donner des frissons dans le dos. Alice Krige (Silent Hill) est brillante et toute aussi effrayante dans le rôle de Mary, cette mère qui n’a d’yeux que pour son fils et dont la jalousie la gagnera rapidement.

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Mrs. Hellshire (The Boy, 2016)

Sans trop en dévoiler, ceux et celles qui ont vu The Boy savent que Mrs. Hellshire (Diana Hardcastle) n’était pas une très bonne mère. Engager une nounou pour garder son fils n’a rien de bizarre, mais ça l’est un peu plus lorsque le dit fils est en fait une poupée de porcelaine. Suite à la demande des Hellshire, Greta (Lauren Cohan) vivra un vrai cauchemar lorsqu’elle découvrira la vérité à propos de Brahms.

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Peyton Flanders (The Hand That Rocks the Cradle, 1992)

Probablement un des personnages les plus méchants du cinéma, Peyton Flanders incruste la famille Bartel afin d’aller y retrouver ce qu’elle a perdu: son enfant. Une mère déterminée et prête à tout pour arriver à ses fins. Rebecca De Mornay (Mother’s Day (2010)) a son meilleur aux côtés d’Annabella Sciorra (Cop Land), Julianne Moore (Hannibal) et Madeline Zima (Twin Peaks).

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Margaret White (Carrie, 1976)

Une autre mère incontournable qui aurait été un crime d’ignorer: celle de Carrie White. Margaret, mariée à Jésus, ne sait pas comment aimer sa fille Carrie (Sissy Spacek), victime d’intimidation, qu’elle surprotège depuis toujours. Brillamment interprétée par Piper Laurie (The Faculty) et tout droit venue de l’imaginaire de Stephen King, Margaret White est l’exemple parfait de la mère qui aime mal.

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Debbie Salt (Scream 2, 1997)

Après avoir échappé aux griffes de son petit ami, Sidney Prescott (Neve Campbell) doit maintenant faire face à la mère du défunt. La pomme ne tombe pas très loin de l’arbre et le dernier acte de Scream 2 constitue en un intense face à face où notre héroïne doit affronter la mère psychotique de Billy Loomis interprétée par la parfaitement cinglée Laurie Metcalf (Lady Bird).

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Beverly Sutphin (Serial Mom, 1994)

Le réalisateur John Waters (Multiple Maniacs, Pink Flamingos) réussit ici à nous faire adorer cette mère de famille tueuse en série dans une comédie noire où Kathleen Turner (The War of the Roses) offre la performance de sa carrière! Quelle mère serait prête à utiliser un gigot d’agneau comme arme de crime? C’est cru, c’est drôle, c’est gore. C’est du très bon John Waters.

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Ruth (Prevenge, 2016)

Tout un exploit! C’est même avant d’accoucher que Ruth (Alice Lowe, Sightseers) devient l’une des pires mères du cinéma d’horreur. C’est qu’elle entend son foetus lui parler, et ce qu’il lui raconte n’est pas très catholique. Le bébé à naître réussit même à contrôler sa future mère et la pousse à commettre les pires atrocités. Lowe signe la réalisation et le scénario du film qui nous offre une vision de la maternité féministe et très… sanglante!

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«Woman» (The People Under the Stairs, 1991)

Qui ne se souvient pas de cette maman complètement barge, prête à tout pour protéger sa maison y compris ses lugubres habitants du sous-sol? Un autre film culte du regretté réalisateur Wes Craven (A Nightmare on Elm Street, Scream) où l’actrice Wendy Robie (Twin Peaks) se donne corps et âme pour donner vie à ce personnage d’une folie jamais égalée.

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Vera Cosgrove (Dead Alive (Braindead), 1992)

Cette compilation ne serait pas complète sans la présence Vera Cosgrove interprétée par Elizabeth Moody (The Scarecrow), qui remporterait probablement la palme de la mère la plus castrante de l’histoire du cinéma. Sa relation égoïste avec son fils Lionel est si venimeuse qu’elle lui en coûtera très cher. D’abord un morceau de sa joue, ensuite son oreille, jusqu’à un deuxième accouchement plutôt épique! Avec son troisième long-métrage, le cinéaste Peter Jackson (trilogie The Lord of the Rings) nous propose l’un des films les plus gore du cinéma d’horreur encore à ce jour.

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Mrs. Voorhees (Friday the 13th, 1980)

Évidemment, on ne peut passer à côté de la pire (ou la meilleure, c’est selon)! Celle qui a tout fait pour venger la mort de son fils Jason, même mourir sous la lame d’une machette. C’est l’actrice Betsy Palmer (Queen Bee) qui hérita du rôle légendaire de cette maman diabolique et qui marqua la début d’une longue (très longue!) saga qui continue encore aujourd’hui de remplir les coffres d’Hollywood.

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