Denis Côté vient de clore le premier bloc de tournage de Violence du corps de l’autre, son nouveau long métrage, amorcé le 19 août dernier entre les Cantons-de-l’Est et la grande région montréalaise. Un second bloc est prévu en janvier prochain.
Le cinéaste retrouve à l’écran Larissa Corriveau, avec qui il collabore pour la quatrième fois après Répertoire des villes disparues (2019), Hygiène sociale (2021) et Mademoiselle Kenopsia (2023). Elle donne la réplique à l’acteur français Philippe Rebbot, ainsi qu’à Pierrette Robitaille, Louise Deschâtelets et Eve Pressault.

Au cœur du récit, Mira sillonne les routes, hantée par d’étranges pactes conclus avec des êtres désespérés. Sa rencontre avec un jeune homme excessif la pousse à s’arrêter chez Madeleine et Ludo, deux esprits libres établis en forêt, et à remettre en question ses sombres missions.
Depuis Les États nordiques en 2005, Denis Côté s’est imposé comme l’une des voix les plus singulières du cinéma d’auteur. Ses films, présentés dans de nombreux festivals internationaux, lui ont valu plusieurs distinctions, dont l’Ours d’argent et le Prix Alfred-Bauer de l’innovation à la Berlinale pour Vic+Flo ont vu un ours. Violence du corps de l’autre marquera son 17e long métrage en vingt ans.
Pour ce projet, Denis Côté s’entoure de collaborateurs de longue date avec Vincent Biron à la direction photo, Marie-Pier Fortier à la direction artistique, Stephen de Oliveira au son, Caroline Bodson aux costumes et Terence Chotard au montage. Après Mademoiselle Kenopsia, c’est également sa 2e collaboration avec les producteurs Gabrielle Tougas-Fréchette et Guillaume Vasseur.
Distribué par h264, Violence du corps de l’autre est attendu en salles en 2026.




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