Un officier de police en pleine dépression accepte un poste d’agent de sécurité dans un vieil immeuble de la ville de Sofia, en Bulgarie. Ses employeurs exigent de lui qu’il surveille un entrepôt dans le sous-sol de l’édifice. Alors que les chiffres de nuit défilent, les événements étranges se succèdent et le bâtiment devient infernal.
Depuis un moment déjà, le titre Nightworld s’entend dans les conventions, ou autres rassemblements de fanatiques. Son réalisateur Chilien a un cercle d’adeptes et la distribution se compose de Robert Englund, adopté par une série d’amateurs à jamais fidèles au règne de Freddy.
Néanmoins, la réalisation de Valladares démontre un certain savoir-faire. Elle nous fait déambuler dans ce manoir magnifique et utilise les décors et les cadrages pour nous inquiéter dans les segments les plus engourdis. Mieux vaut éviter de penser aux flammèches que le cinéaste aurait pu causer si ses scénaristes s’étaient davantage appliqués.
Au niveau de la distribution Jason London offre un jeu acceptable, malgré certaines expressions plus monolithiques. Robert Englund sauve amplement la mise dans le rôle d’un aveugle excentrique. Comme il nous l’a si souvent montré, l’interprète de Freddy est incomparable dans ce genre de rôle.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.