James DeMonaco, l’esprit derrière la franchise à succès The Purge, revient en force avec un nouveau thriller d’horreur angoissant qui s’attaque cette fois non plus à la société tout entière, mais à un lieu bien plus restreint… et tout aussi terrifiant : une résidence pour personnes âgées.
Dans The Home, Pete Davidson (Saturday Night Live, Bodies Bodies Bodies) iincarne un jeune homme rebelle condamné à des heures de travaux communautaires dans une maison de retraite en apparence paisible. Mais derrière les couloirs silencieux et les regards éteints se dissimule une vérité bien plus sombre.
Très vite, certaines règles étranges attisent sa curiosité : l’accès au quatrième étage est strictement interdit. Selon le personnel, les résidents qui y vivent nécessitent des soins « particuliers ». Intrigué, il décide d’en savoir plus… et ce qu’il découvre dépasse ses pires cauchemars. Ce qui devait être une simple corvée se transforme en véritable lutte pour la survie, dans un lieu où les murs eux-mêmes semblent porteurs de secrets inavouables.
“When I set out to create The Home, I aimed to capture the spine‑chilling eeriness of ’70s horror, where suspense simmers and ultimately erupts into glorious chaos. […] The growing tension culminates in an epic blood‑soaked finale, designed to leave audiences gasping, terrified, and cheering. I can’t wait for everyone to visit The Home. Cover your eyes, folks.”— James DeMonaco, Rolling Stone Australia

Aux côtés de Davidson, on retrouve un casting impressionnants : John Glover (Gremlins 2, Smallville), Bruce Altman (Glengarry Glen Ross), et Ethan Phillips (Star Trek: Voyager), qui incarnent des pensionnaires aussi troublants qu’attachants… jusqu’à ce que tout bascule.
Avec ce nouveau long-métrage, James DeMonaco signe un huis clos oppressant, où l’horreur psychologique se mêle à une réflexion sociale acérée sur le vieillissement, l’isolement et les dérives institutionnelles. Dans la lignée de ses œuvres précédentes, il pose un regard lucide et critique sur les mécanismes de pouvoir, tout en instaurant une tension constante et maîtrisée, jusqu’à l’éclatement final.
Bienvenue au quatrième étage!
En salle dès le 25 juillet 2025.
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